Mes mots

Bio

Lorsque j'ai rejoint l'entreprise familiale en 2000, mon père avait déjà converti le vignoble à l'agriculture biologique deux ans auparavant. On ne pousse pas les autres associés à faire de même, même si on se taquine parfois là-dessus. Certains travaillent déjà leurs sols et s'ils en expriment le besoin, nous serons là pour les aider le moment venu. Chacun doit pouvoir travailler comme il veut, l’essentiel étant de partager le même amour son terroir.

Bousculer

Ce qu’on attendait de l’équipe de Clairmont ? Qu’elle nous bouscule, c’était une demande forte et une mission plus qu'accomplie. Les salariés aiment le vin et sont vraiment engagés dans la structure. On parle le même langage et chacun apporte sa pierre à l'édifice. Et on a tous gagné en confiance.

Liberté

À Clairmont, tout est structuré et organisé. Du coup, je peux consacrer du temps à mon vignoble. Pendant les vinifications, je passe mes dimanches à la cave pour travailler et suivre les vins, c'est l'avantage d'être une petite structure, on peut toucher à tout !

Nouveau Monde

Travailler dans une winerie de 2700 hectares a été une formidable expérience. Une fois revenu, tout était plus clair, mes aspirations, ma vision du vin, de mon terroir, j'ai aussi eu la chance d'y rencontrer mon épouse... J'y ai compris ce qui faisait la singularité de la France. Là-bas, le vin est technologique, c'est un business, ici c'est une entité à part entière !

Place

En allant voir comment étaient les autres vins, leurs étiquettes, comment ils se vendaient, on a pris conscience de la place qu’on pouvait occuper en toute légitimité.